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Vivre pour les caméras

Constance Vilanova

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Une enquête à la première personne, qui explore la manière dont la téléréalité a infusé la société depuis plus de vingt ans, s’exportant désormais sur les réseaux sociaux. Mise en scène de soi, rapport au corps, violences sexuelles… qu’on ait consommé ou pas ces programmes, leur influence est partout.
Il y a près de vingt-cinq ans, la téléréalité apparaissait sur nos écrans, et ne les a plus quittés. Jugée trop populaire ou abrutissante, les médias traditionnels s’en sont détournés, la laissant devenir un angle mort. Pourtant, diffusée à l’heure du goûter, elle a façonné une nouvelle esthétique, entre réalité reconstituée et intimité factice, des codes de la communication dont aujourd’hui tout le monde fait usage, des influenceurs jusqu’aux politiques.
Spectatrice assidue depuis ses dix ans, Constance Vilanova n’a jamais décroché de ces programmes. Devenue journaliste, elle s’est interrogée : pourquoi avons-nous collectivement méprisé ce phénomène ? Dans cette enquête, elle nous entraîne au coeur de cette industrie : culte de l’individu, aspiration à la célébrité, banalisation de la chirurgie esthétique, apologie du clash et du harcèlement, romantisation des violences sexistes et sexuelles… Pendant que nous détournions le regard, la téléréalité s’est exportée sur les réseaux sociaux, ne cessant d’exploiter et de creuser les failles de notre société.

« Dans « Vivre pour les caméras » (JC Lattès), celle qui a été biberonnée par ces programmes et qui depuis est devenue journaliste indépendante, livre une enquête captivante sur un univers peu traité par les médias, celui de la télé-réalité. Pourtant, depuis plus de vingt ans, ces émissions reflètent bien des failles de notre société. » L’Obs

« Dans son essai « Vivre pour les caméras » (JC Lattès), la journaliste féministe s’interroge sur ce que la téléréalité a fait d’elle, en tant que femme et en tant qu’être humain. Narcissisme revendiqué, chirurgie à gogo, sexisme institutionnalisé, diktat de la vie conjugale, culture du viol et mépris de classe… La question a le mérite de se poser… Qu’est-ce que la téléréalité a fait des jeunes femmes de la nouvelle génération ? »  ELLE

« Parmi ces téléspectateurs, la journaliste indépendante Constance Vilanova a grandi avec ces émissions qui ont accompagné toute son adolescence. Aujourd’hui âgée de 31 ans, elle livre une introspection personnelle et professionnelle dans un essai, Vivre pour les caméras » Le Monde

« Je n’ai pas l’impression d’avoir grand-chose à apprendre sur la téléréalité, mais quand Constance m’a envoyé son livre, je me suis précipitée dessus. Et j’ai appris PLEIN de choses. »   Konbini

« C’est avec beaucoup de finesse et d’intelligence, mais aussi énormément d’honnêteté que l’autrice décortique les problématiques qui gangrènent ces émissions. »  Fémina

«  Constance Vilanova vient de publier Vivre pour les caméras, un ouvrage où la journaliste décrypte les mécanismes de la téléréalité, dénonce ses dérives et constate son impact sur la société.  » Ouest France
 
«  Avec sororité et bienveillance, Constance Vilanova dédie  Vivre pour les caméras, à toutes les candidates de télé-réalité.  Cet essai, à la croisée de l'enquête journalistique et du récit intime, décrypte l’influence de la télé-réalité sur nos vies et les rouages sexistes d’un show omniprésent, à la télévision comme sur les réseaux sociaux,  l’hypersexualisation des candidates, la valorisation des relations toxiques, ou encore, le mépris de classe dont sont victimes tous les participants.  »  Marie Claire
 

«  Un essai riche, nécessaire et passionnant, que l’on dévore comme un épisode de « Secret Story ».  » Elle.fr

Coups de cœur des libraires

« Depuis la première diffusion du Loft ! au début des années 2000, la téléréalité s’est imposée comme machine industrielle sur le petit écran, jusqu’à muter ces dernières années sur nos smartphones et envahir les réseaux sociaux. Moquée par les médias, boudée par le champ sociologique, la « télé-poubelle » est jugée trop populaire et abrutissante. Pourtant, elle est plus que jamais le miroir d’une société dysfonctionnelle ; miroir qu’il est intéressant d’analyser, la preuve en est le mépris de classe sur lequel cette industrie s’est construite et l’écho que cette dernière rencontre dans d’autres sphères comme la politique. Avec une enquête passionnante, Constance Vilanova, spectatrice de la première heure, interroge notre regard et l’impact de ces images à l’esthétique faussement vraie ou véritablement fausse : classiste, sexiste, raciste, validiste... cette industrie met en scène un culte de l’individu, romantise les violences sexistes et sexuelles, banalise la chirurgie esthétique en faisant du corps un objet mercantile.
Sous le couvert d’une mobilité sociale promise, les candidat·es se retrouvent à la fois complices et victimes d’une industrie reproduisant et renforçant les inégalités sociétales et dont l’ascenseur social est resté « au rez-de-chaussée » .Un essai riche, sincère et sans aucune complaisance qu’il est urgent de lire ! » Librairie Ici Grands Boulevards (Paris 2ème)

 

« Vous connaissez Loana? Secret Story? Que vous soyez ou non friands de téléréalité, ces noms ne vous sont pas inconnus. Comment ce phénomène TV a réécrit nos mœurs? pourquoi un tel mépris médiatique et quel impact sur la vision des femmes et sur leur sécurité face au retour d'un machisme culturellement admis par les producteurs? Enquête au cœur d'une industrie qui joue sur les codes genrés et qui en crée d'autres, bien aliénants ... » Librairie Les Nouveautés (Paris 10ème)

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