« Au fil des pages, le lecteur s’imprègne des saveurs – l’ail, les prunes, l’estragon, le romarin – de ce récit délicieux. »
Sunday Times
Après une enfance heureuse en Égypte, Paris d’après-guerre semble morne pour Colette. Elle ne s’entend guère avec son frère, ni avec sa grand-mère. Les fréquentes absences de sa mère accentuent son sentiment de solitude, et elle se réfugie auprès de la cuisinière, qui lui fait découvrir les marchés parisiens et l’initie aux délices de la gastronomie française. Petit à petit, « l’Égyptienne », comme on la surnomme, devient « la Parisienne ». Colette Rossant évoque ses souvenirs où se mêlent des goûts, des odeurs et des textures merveilleuses.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Jacques Tournier