Avocat médiatique, grand défenseur des Droits de l’Homme, William Bourdon sillonne le monde au nom de son association Sherpa, tournée vers la notion de responsabilité sociale des entreprises. On comprend que ce professionnel vigilant ait été particulièrement attentif à l’émergence du phénomène des lanceurs d’alertes. Les Snowden, Falciani, Frachon et autres Julian Assange ont ouvert la voie à davantage de transparence et contribué à libérer la parole dans tous les versants de la société. Certes, leurs motivations sont diverses, nourries par un réel souci de l’intérêt général, mais aussi quelquefois par des ressorts plus personnels. Cependant, toutes ces raisons, bonnes ou moins bonnes, ont un objectif commun: assainir une société corrompue dont ils ne veulent plus être les complices. Mais que dit la loi? Dans quel cadre juridique s’insèrent ces lanceurs d’alertes?
Voici donc, pour la première fois, le vade-mecum qui permettra d’accompagner ce nouveau mouvement citoyen.
Voici donc, pour la première fois, le vade-mecum qui permettra d’accompagner ce nouveau mouvement citoyen.