« Mon père était venu un jeudi matin me cueillir à l’hôpital après un bad trip de cocaïne, après que je lui ai expliqué méthodiquement l’ampleur de mon désastre affectif, le manque, la souffrance d’être homo, le dégoût des hommes. L’humanité me dégoûte. »
L’Hôtel-Dieu, un matin d’hiver. Thierry va chercher Charles, son fils. A vingt ans, Charles vit une descente aux enfers : la drogue, les dettes et un chagrin d’amour. Il aura fallu cette nuit terrible pour que Thierry mesure toute la détresse de son fils.
Pour ne pas s’effondrer, et pour aider Charles à goûter à nouveau à la vie, le père et le fils vont entreprendre ce récit à deux voix, sans en connaître la fin. Où l’on découvre que les failles, la peur de grandir, la peur de vivre aussi, se répondent. La coke, le sexe, la culpabilité, la mort de Lara, leur sœur et fille, l’argent se mélangent à la douceur, la tendresse, les rires. C’est l’hiver et leur vaste chantier est une magnifique ode à l’amour et à l’espoir.
Une histoire qui se joue à Paris, à l’île d’Yeu et en Bourgogne, dans la maison de famille. On y retrouve le charme des souvenirs d’enfance, la cruauté des coups du sort et le désenchantement des enfants gâtés. Tant de vies sont ratées, mais pour ces deux-là, tout commence.
L’Hôtel-Dieu, un matin d’hiver. Thierry va chercher Charles, son fils. A vingt ans, Charles vit une descente aux enfers : la drogue, les dettes et un chagrin d’amour. Il aura fallu cette nuit terrible pour que Thierry mesure toute la détresse de son fils.
Pour ne pas s’effondrer, et pour aider Charles à goûter à nouveau à la vie, le père et le fils vont entreprendre ce récit à deux voix, sans en connaître la fin. Où l’on découvre que les failles, la peur de grandir, la peur de vivre aussi, se répondent. La coke, le sexe, la culpabilité, la mort de Lara, leur sœur et fille, l’argent se mélangent à la douceur, la tendresse, les rires. C’est l’hiver et leur vaste chantier est une magnifique ode à l’amour et à l’espoir.
Une histoire qui se joue à Paris, à l’île d’Yeu et en Bourgogne, dans la maison de famille. On y retrouve le charme des souvenirs d’enfance, la cruauté des coups du sort et le désenchantement des enfants gâtés. Tant de vies sont ratées, mais pour ces deux-là, tout commence.