Depuis quelques années, La Grameen Bank créée par le Pr Yunus développe en association avec d’autres entreprises le nouveau modèle économique du social business. Des entreprises à vocation populaire qui doivent gagner de l’argent mais qui ne distribuent pas. Les éventuels profits sont réinvestis afin d’améliorer l’accès, la qualité et le prix des produits.
Quels sont aujourd’hui les résultats de ces premières expériences ? Quels ont été les effets de la crise financière et de l’augmentation des matières premières ? Le Pr Yunus s’appuie essentiellement sur les trois principaux exemples qu’il a montés avec Danone, Véolia et Adidas.
Etape par étape, il nous explique comment le marché et l’évolution des coûts ont obligé ces entreprises à faire évoluer leur stratégie, leur marketing, leur cible. Même si le modèle est différent, les lois économiques qui fixent les équilibres du social business sont les mêmes que celle qui agissent sur l’économie de marché classique. Le principe de réalité prédomine…
Entre études de cas et réflexions sur le monde à venir, le nouveau livre du Pr Yunus nous ouvre un monde toujours aussi stimulant et porteur d’espoir.
Traduit de l’anglais par Annick Steta et Béatrice Merle d’Aubigné
Quels sont aujourd’hui les résultats de ces premières expériences ? Quels ont été les effets de la crise financière et de l’augmentation des matières premières ? Le Pr Yunus s’appuie essentiellement sur les trois principaux exemples qu’il a montés avec Danone, Véolia et Adidas.
Etape par étape, il nous explique comment le marché et l’évolution des coûts ont obligé ces entreprises à faire évoluer leur stratégie, leur marketing, leur cible. Même si le modèle est différent, les lois économiques qui fixent les équilibres du social business sont les mêmes que celle qui agissent sur l’économie de marché classique. Le principe de réalité prédomine…
Entre études de cas et réflexions sur le monde à venir, le nouveau livre du Pr Yunus nous ouvre un monde toujours aussi stimulant et porteur d’espoir.
Traduit de l’anglais par Annick Steta et Béatrice Merle d’Aubigné