Le 22 juin 1940, la France signe une reddition déshonorante. C’est la pire catastrophe qu’ait connue ce pays pourtant riche en guerres et en malheurs depuis sa naissance. Comment et surtout pourquoi un tel désastre a-t-il été possible ? Une production historique considérable a été consacrée à ce sombre moment de notre histoire. Elle fait toujours état d’une sorte de fatalité, due à la démographie, aux circonstances, au destin. La tendance historiographique irait vers « l’inévitable » voire « l’excusable » défaite. Et pourtant, que d’erreurs, et que de responsables ! L’armée, la classe politique, les élites ont toutes joué la carte de la passivité et multiplié les erreurs stratégique et économiques.
Tissant l’histoire officielle et des archives inédites dans un récit vivant et audacieux, L’Impardonnable défaite est une remarquable enquête historique et humaine.
« Pour que le mal triomphe, il suffit que les hommes de bien ne fassent rien. » Cette phrase du philosophe Edmund Burke s’appliquerait parfaitement à la défaite française de 1940 si le constat n’était pas plus terrible encore : le mal a triomphé non seulement à cause de la passivité, mais surtout à cause des erreurs de la classe politique française. Telle est la thèse, polémique, courageuse et argumentée, de ce livre.
Tissant l’histoire officielle et des archives inédites dans un récit vivant et audacieux, L’Impardonnable défaite est une remarquable enquête historique et humaine.
« Pour que le mal triomphe, il suffit que les hommes de bien ne fassent rien. » Cette phrase du philosophe Edmund Burke s’appliquerait parfaitement à la défaite française de 1940 si le constat n’était pas plus terrible encore : le mal a triomphé non seulement à cause de la passivité, mais surtout à cause des erreurs de la classe politique française. Telle est la thèse, polémique, courageuse et argumentée, de ce livre.