Babakar est médecin. Il vit seul avec ses souvenirs d’une enfance africaine, d’une mère aux yeux bleus qui vient le visiter en songe, d’un ancien amour, Azelia, disparue elle aussi, et autres rêves de jeunesse d’avant son exil en Guadeloupe, berceau de sa famille. Mais le hasard ou la providence place une enfant sur sa route et l’oblige à renoncer à sa solitude, à ses fantômes.
La petite Anaïs n’a que lui. Sa mère, une réfugiée haïtienne, est morte en la mettant au monde, lui léguant sa fuite et sa misère. Babakar veut lui offrir un autre avenir. Ils s’envolent pour Haïti, cette île martyrisée par la violence, les gouvernements corrompus, les bandes rebelles, mais si belle, si envoûtante. Babakar recherche la famille d’Anaïs, une tante, un oncle, des grands-parents peut-être, qui pourraient lui raconter son histoire. Mais Babakar ne rencontre personne et ne peut compter que sur lui et sur ses deux amis Movar et Fouad. Des hommes qui lui ressemblent, exilés, solitaires, à la recherche d’eux-mêmes et qui trouvent à Haïti des réponses à leur quête, un lieu de paix au milieu des décombres.
La petite Anaïs n’a que lui. Sa mère, une réfugiée haïtienne, est morte en la mettant au monde, lui léguant sa fuite et sa misère. Babakar veut lui offrir un autre avenir. Ils s’envolent pour Haïti, cette île martyrisée par la violence, les gouvernements corrompus, les bandes rebelles, mais si belle, si envoûtante. Babakar recherche la famille d’Anaïs, une tante, un oncle, des grands-parents peut-être, qui pourraient lui raconter son histoire. Mais Babakar ne rencontre personne et ne peut compter que sur lui et sur ses deux amis Movar et Fouad. Des hommes qui lui ressemblent, exilés, solitaires, à la recherche d’eux-mêmes et qui trouvent à Haïti des réponses à leur quête, un lieu de paix au milieu des décombres.