En débarquant à Tunis en 1907, Ranavalona III, dernière reine de Madagascar, est submergée par les souvenirs de sa jeunesse à Tananarive, ses amours passionnées et la tragédie de son exil forcé.
Elle découvre aussi un pays où bat le pouls intellectuel de l’Orient d’alors, avec ses salons de pensée tenus par des souveraines lumineuses. Toutes ont en commun l’amour de la littérature et de la politique, et aux côtés de ces femmes, Ranavalona retrouve son souffle.
Dans ce deuxième roman poétique et envoûtant, Hella Feki redonne voix à cette reine qui n’était pas destinée à régner. Un voyage d’un bout à l’autre de l’Afrique, une variation romanesque sur cette figure oubliée de l’Histoire.
« Un moment exceptionnel que nous fait revivre l'auteure avec une tendresse érudite. » Ecran de veille
« Dans ce texte empreint de suavité et de gravité, Hella Feki convoque l’histoire officielle mais aussi l’intimité de la fiction pour raconter une vie habitée par les tragédies et la solitude, les amours, les soleils et les rencontres qui nous transforment. » L’Orient le jour
« Elles lui rappellent autant le bonheur de cette époque que la tragédie de son pays à peine adoucie par le souvenir des paysages. Nourri d’Histoire et d’imaginaire, le roman allie habilement les deux aspects. » Le Soir
« Un moment exceptionnel que nous fait revivre l'auteure avec une tendresse érudite. » Ecran de veille
« Dans ce texte empreint de suavité et de gravité, Hella Feki convoque l’histoire officielle mais aussi l’intimité de la fiction pour raconter une vie habitée par les tragédies et la solitude, les amours, les soleils et les rencontres qui nous transforment. » L’Orient le jour
« Elles lui rappellent autant le bonheur de cette époque que la tragédie de son pays à peine adoucie par le souvenir des paysages. Nourri d’Histoire et d’imaginaire, le roman allie habilement les deux aspects. » Le Soir