
Alors, les symptômes deviennent chroniques; ils deviennent la maladie elle-même. Les exemples sont légion, qu’il s’agisse de la banale crise de migraine qui révélera la maladie migraineuse, de la crise d’anxiété qui annoncera une dépression nerveuse, ou encore d’une crise d’épilepsie qui ne sera que la première manifestation d’une lésion cérébrale.
Pour le Dr Rubinstein, la crise n’est bien souvent qu’un signal d’alarme constituant le prélude à la prise en charge attentive de l’après-crise. Pour les patients, c’est la gestion quotidienne de l’après-crise qui sera primordiale. Là où il nous faudra être vigilant, appliquer des mesures préventives et, surtout, ne pas répéter les erreurs du passé.
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