Chanteuse et amoureuse. Voilà le double destin de mademoiselle Arnould. « Une de ces rares créatures, semées dans le temps à de longs intervalles, écrivent les frères Goncourt, qui vivantes sont le scandale d’un siècle et mortes son sourire… »
Cette « sœur cadette de Ninon » qui incarne à la fois l’esprit, l’âme, le parfum d’amour et de musique du XVIIIe siècle en fut aussi la plus grande soprano et la plus grande amoureuse. Pendant vingt ans, elle reste l’une des femmes et artistes les plus adulées en France et au-delà. L’Europe entière rêve de l’écouter et de la voir sur scène.
Femme d’esprit, elle tient salon où elle attire les plus grands noms du siècle. Philosophes, scientifiques, gens de lettres… Elle recevait deux fois par semaine, le jeudi étant réservé aux femmes. Une innovation. Elle fut L’Eurydice du grand Gluck, mais aussi la protégée de Marie-Antoinette et régna par ses talents et son esprit qu’elle avait mordant. Elle plaisait comme elle respirait et son tempérament de feu brûla les planches et les hommes.
Ce « roman vrai » nous entraîne dans les coulisses tumultueuses de sa vie, de l’opéra jusqu’aux alcôves, son salon et ses foyers. Mais sous le masque de « la Divine » perce la vérité d’une femme, plus secrète, plus sensible que ne le laisse supposer sa légende noire.
Cette histoire où la musique et la passion tiennent le premier rôle est l’histoire de sa vie, et d’un improbable mais indéfectible amour qu’elle nous confie mezza voce… C’est la voix de Sophie qui revient, avec ses rires, ses colères, ses peines, ses vérités. Comme un message d’outre-tombe pour la ressusciter.
Cette « sœur cadette de Ninon » qui incarne à la fois l’esprit, l’âme, le parfum d’amour et de musique du XVIIIe siècle en fut aussi la plus grande soprano et la plus grande amoureuse. Pendant vingt ans, elle reste l’une des femmes et artistes les plus adulées en France et au-delà. L’Europe entière rêve de l’écouter et de la voir sur scène.
Femme d’esprit, elle tient salon où elle attire les plus grands noms du siècle. Philosophes, scientifiques, gens de lettres… Elle recevait deux fois par semaine, le jeudi étant réservé aux femmes. Une innovation. Elle fut L’Eurydice du grand Gluck, mais aussi la protégée de Marie-Antoinette et régna par ses talents et son esprit qu’elle avait mordant. Elle plaisait comme elle respirait et son tempérament de feu brûla les planches et les hommes.
Ce « roman vrai » nous entraîne dans les coulisses tumultueuses de sa vie, de l’opéra jusqu’aux alcôves, son salon et ses foyers. Mais sous le masque de « la Divine » perce la vérité d’une femme, plus secrète, plus sensible que ne le laisse supposer sa légende noire.
Cette histoire où la musique et la passion tiennent le premier rôle est l’histoire de sa vie, et d’un improbable mais indéfectible amour qu’elle nous confie mezza voce… C’est la voix de Sophie qui revient, avec ses rires, ses colères, ses peines, ses vérités. Comme un message d’outre-tombe pour la ressusciter.