Le Dr Peter Brown est interne dans le pire hôpital de Manhattan. Il a du talent pour la médecine, des horaires infernaux et un passé qu’il préférerait passer sous silence. Qu’il s’agisse d’une artère circonflexe bouchée ou d’un projet machiavélique de procès pour erreur médicale, il connaît le mal qui se tapit dans le cœur des hommes.
Il faut dire que dans une autre vie, il a été Griffe d’ours, tueur à gages pour la mafia. Ce génie du combat rapproché a une relation un peu trop intime avec le programme fédéral de protection des témoins et est plus susceptible de laisser traîner une dizaine de cadavres qu’une molécule de preuve à charge.
Eddy Squillante, son nouveau patient, n’a plus que trois mois à vivre, et peut-être moins, lorsqu’il découvre que sous les traits de son nouveau médecin se cache Griffe d’ours. Avec la mafia, le gouvernement et la mort en personne s’abattent sur l’hôpital, Dr Brown survivra-t-il aux huit heures qui suivent et saisira-t-il sa dernière chance de rédemption ?
Truffé d’action, boosté à l’adrénaline et à l’humour, Docteur à tuer est un premier thriller tellement original que Time Magazine l’a sélectionné parmi les meilleurs romans de l’année 2009.
Traduit de l’anglais par Denyse Beaulieu
Il faut dire que dans une autre vie, il a été Griffe d’ours, tueur à gages pour la mafia. Ce génie du combat rapproché a une relation un peu trop intime avec le programme fédéral de protection des témoins et est plus susceptible de laisser traîner une dizaine de cadavres qu’une molécule de preuve à charge.
Eddy Squillante, son nouveau patient, n’a plus que trois mois à vivre, et peut-être moins, lorsqu’il découvre que sous les traits de son nouveau médecin se cache Griffe d’ours. Avec la mafia, le gouvernement et la mort en personne s’abattent sur l’hôpital, Dr Brown survivra-t-il aux huit heures qui suivent et saisira-t-il sa dernière chance de rédemption ?
Truffé d’action, boosté à l’adrénaline et à l’humour, Docteur à tuer est un premier thriller tellement original que Time Magazine l’a sélectionné parmi les meilleurs romans de l’année 2009.
Traduit de l’anglais par Denyse Beaulieu