Janvier 1861, université de Pétersbourg : la jeune Apollinaria Souslova, fille d’un serf émancipé et qui rêve d’écrire, s’éprend de Fédor Dostoïevski. S’ensuit une passion charnelle et orageuse. L’écrivain est marié et Apollinaria part seule pour Paris.
Mais n’étreint-on pas toujours ceux qui nous échappent ?
Des cafés de la bohème parisienne aux villes d’eau allemandes, voici le roman aussi envoûtant que méconnu de celle qui inspira les plus grandes héroïnes de Dostoïevski, et qui dessine le portrait intime et ambigu de l’auteur de Crime et châtiment.
Mais n’étreint-on pas toujours ceux qui nous échappent ?
Des cafés de la bohème parisienne aux villes d’eau allemandes, voici le roman aussi envoûtant que méconnu de celle qui inspira les plus grandes héroïnes de Dostoïevski, et qui dessine le portrait intime et ambigu de l’auteur de Crime et châtiment.