Dans les années 1960, le jeu préféré des garçons qui vivent sur les hauteurs de Sarajevo est un défi aux lois de l’apesanteur : après l’école, ils se retrouvent pour lancer des couvercles de casseroles dans les airs et deviner où les vents les porteront, de sorte que les disques de métal reviennent entre leurs mains.
Cinquante ans plus tard, l’un de ces garçons, Emir Kusturica, a grandi en s’inspirant de cet acte de rébellion poétique contre la nature et est devenu réalisateur, auteur et musicien. Il a vu son pays détruit par la guerre, ses frontières redessinées, mais n’a jamais cessé de considérer la liberté comme le bien le plus précieux qu’un homme doit défendre, plus encore s’il est artiste. Lorsqu’il rencontre
l’écrivain Peter Handke, il comprend qu’il n’est plus seul.
Dans ce roman-monde, deux rebelles – un cinéaste et un conteur – se poursuivent, marchant sur la corde raide entre les fantômes d’Ivo Andri et d’Ingmar Bergman, à la recherche de l’essence de l’homme.
Traduit de l’italien par Vincent Raynaud
Cinquante ans plus tard, l’un de ces garçons, Emir Kusturica, a grandi en s’inspirant de cet acte de rébellion poétique contre la nature et est devenu réalisateur, auteur et musicien. Il a vu son pays détruit par la guerre, ses frontières redessinées, mais n’a jamais cessé de considérer la liberté comme le bien le plus précieux qu’un homme doit défendre, plus encore s’il est artiste. Lorsqu’il rencontre
l’écrivain Peter Handke, il comprend qu’il n’est plus seul.
Dans ce roman-monde, deux rebelles – un cinéaste et un conteur – se poursuivent, marchant sur la corde raide entre les fantômes d’Ivo Andri et d’Ingmar Bergman, à la recherche de l’essence de l’homme.
Traduit de l’italien par Vincent Raynaud