Entre toutes les mères
Dans ce premier roman aussi addictif que troublant, Ashley Audrain sonde les affres de la maternité et les hérédités blessées. Car comment se faire confiance si personne ne nous fait confiance ?
il n’est pire aveugle
Roman aussi intime qu’universel, Il n’est pire aveugle évoque les histoires que nous nous racontons pour faire la paix avec notre vie. Il confirme que Boyne est l’un des plus grands portraitistes de sa génération.
Résurrection
LES ORPHELINS
le roi n’avait pas ri
père au foyer
Vous écrire
Les lettres d’une mère dont la fille est gravement malade à l’écrivain qu’elle lit et admire. Des lettres qui sont comme un journal de la maladie, du combat, un hymne à la vie, au pouvoir des mots. Un texte vibrant qui résonne comme une leçon d’humanité et de courage.
les vanités
Une plongée romanesque dans le cœur battant d’un office notarial, là où se jouent Les Actes de nos vies, où Les Volontés se révèlent, où Les Vanités surgissent. Le portrait d’une notaire pas comme les autres qui poursuit ses aventures après le succès des deux précédents volumes de cette trilogie. Ou quand sonne l’heure de la révolte…
les beaux jours
Un premier roman d’une grande délicatesse et d’une grande beauté sur les deuils impossibles et les drames dont on hérite sans le savoir.
la sainte touche
L’histoire d’un duo improbable entre un jeune écrivaillon mis à la rue par son père, et Alain Basile, un épicier voyou. Dans ce roman iconoclaste, parfois dur, loufoque aussi, le tandem va se lancer dans tous les trafics pour tenter de s’en sortir.
L’ANNÉE LA PLUS CHAUDE
Un roman initiatique au cœur d’une zone périphérique de Belgique. Un cri de rage contre la monotonie et l’ennui.
le lanceur d’ALERTE N’EST PAS UN DÉLATEUR
Le coup de colère d’un avocat à l’occasion du délibéré du procès Mediator (29 mars). Non seulement le lanceur d’alerte n’a rien d’un corbeau, mais il n’est pas suffisamment protégé par la législation française.
le gibier
le murder club du jeudi
Un cosy crime à la plume raffinée et à l’humour mordant, où l’on discute meurtres entre deux tasses de thé et quelques scones.
